Que Devient Samantha Bbien

Que Devient Samantha Bébien – Après l’incendie d’une maison le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château (aujourd’hui Beauvallon), les corps de Vincent Bébien, de sa femme Odette et de leurs deux enfants, Vincent-Salvator et Aline, sont découverts. Quatre ans plus tard, sans jamais s’avouer coupable, un homme sera condamné à la prison à vie.

Revenez sur cette tuerie de podcast et voyez si vous pouvez découvrir qui l’a fait. Samantha Bébien, alors âgée de 25 ans, a perdu ses parents, son frère et sa sœur dans l’incendie d’une maison le 30 mai 1995. Les résultats rapides de l’autopsie ont confirmé qu’ils avaient tous été abattus.

En 1995, la petite ville rhodanienne de Saint-Andéol-le-Château est secouée par un drame. Les Bébiens, ainsi que deux de leurs trois enfants, sont abattus. Leur âme sœur Éric Bruyas, soupçonnée depuis aussi longtemps qu’on s’en souvienne, s’est vue accorder un sursis en 2021. En résumé, laissez-moi vous dire pourquoi.

Toute la France a été ébranlée par cette histoire. Le 30 mai 1995, dans la petite ville de Saint-Andéol-le-Château sur le Rhône, une famille de Bébiens est assassinée de multiples coups de carabine. Les parents, Vincent, 47 ans, et Odette, 46 ans, et deux de leurs trois enfants, Vincent, 21 ans, et Aline, 16 ans, sont tous décédés aujourd’hui.

Seule Samantha, la deuxième fille du couple et l’aînée au moment des faits, est protégée. C’est alors que la maison de la famille Bébien est incendiée à l’aide de torches enflammées et de jerrycans d’essence. Le sexe du partenaire de Bébi, Eric Bruyas, a tout de suite été suspecté. Samantha a également été soupçonnée pendant un certain temps, bien qu’elle ait été rapidement innocentée en tant que suspecte. Un dénommé “Le Romand du Rhône” depuis la mort de ses proches a été accusé de meurtre pour avoir accès à un héritage.

Aujourd’hui, Éric Bruyas a 54 ans, mais il a toujours clamé son innocence en insistant sur le fait que c’est un groupe d’hommes déguisés qui a assassiné sa famille bien-aimée. Pourtant, il a admis qu’il avait éteint le feu à la maison pour épargner à sa femme un coup émotionnel. En 1999, quatre ans après les événements, le principal suspect a été condamné à la prison à vie plus 22 ans pour le triple meurtre.

De derrière les barreaux en 2011, il demande une révision du procès qui est finalement refusée. De plus, bien qu’il ait pu être libéré en 2017, toutes les demandes de libération anticipée de prison ont été refusées. Son état de santé préoccupant a conduit le tribunal à lui accorder une suspension de peine le 25 octobre 2021. Au vu du fait que le condamné n’a jamais cessé de clamer son innocence, l’affaire restera vraisemblablement mystérieuse encore un certain temps.

Depuis le 18 octobre, Eric Bruyas, 31 ans, est jugé devant la cour d’assises du Rhône pour la mort par balle en 1995 de sa femme et de ses quatre enfants à Saint-Andéol-le-Château, en France. Il n’embellit pas les faits, mais ses différents témoignages n’ont fait qu’alimenter les soupçons sur un homme qui semble sûr de lui mais incapable de mettre des mots sur ses sentiments.

La vision inarticulée d’Eric Bruyas empêche tout sentiment de s’échapper. C’est vrai que c’est un beau renard, mais son regard est glacial. Tout chez lui est lisse. Lorsqu’il revient devant la cour d’appel du Rhône, où il est jugé depuis le lundi 18 octobre pour « assassinats » et « destruction par incendie », il le fait avec l’assurance d’un cow-boy et aucune des prétentions d’un flambeur.

À l’âge de trente et un ans, il est soupçonné du meurtre de quatre membres de la riche famille Bébien à Saint-Andéol-le-Château, Rhône, le 30 mai 1995. Leurs corps brûlés ont été retrouvés dans un pavillon qui avait été installé sur Feu.

Malgré les accusations croissantes portées contre lui, il a toujours nié toute responsabilité dans les événements qui lui ont été imputés. La police chargée de l’enquête a examiné toutes les pistes possibles, y compris les crimes à motivation sexuelle, les suicides de masse dans le style du Temple du Soleil et les infractions liées aux gangs. Pas d’Utilisation.

Il fallait se rendre à l’évidence : personne d’autre qu’un proche parent, qui aurait su comment chaque victime passait son temps, n’aurait pu commettre ces meurtres. Eric Bruyas et sa femme Bébienne Samantha étaient facilement identifiables au lendemain du drame. Étrangement, Eric Bruyas n’a aucune explication sur les fenêtres temporelles dans lesquelles les meurtres ont eu lieu.

Ses explications ne sont pas convaincantes, ajoutant du poids aux soupçons des enquêteurs. D’autant plus qu’Eric Bruyas ne montre aucun signe d’être ébranlé par la tragédie qui est sur le point de frapper sa famille parfaite. Il a été réinterprété de nombreuses fois, chaque nouvelle interprétation étant plus invraisemblable que la précédente.

Après avoir retrouvé les corps, il s’accuse d’abord d’avoir déclenché l’incendie. Il espère convaincre sa femme qu’il lui dit “la vérité effroyable” sur le suicide de masse qu’il croit imminent. Confronté à ses propres incohérences, il écrit encore un autre récit. Selon lui, un homme “de type nord-africain” a tué le Bébien puis s’est laissé pour mort après avoir découvert le drame.

Le lendemain, il jette dans le Rhône le corps de l’assassin ainsi que l’arme et les munitions qui ont servi à tuer les Bébiens. La rivière a été sondée et les plongeurs ont trouvé l’arme, les munitions et les bleus de l’uniforme de travail, mais aucun corps. Il se trouve que tout ce qui a été trouvé appartenait à l’origine à Eric Bruyas.

Eric Bruyas, 27 ans, a été exécuté à la prison Saint-Joseph de Lyon en début d’après-midi hier pour son rôle dans les meurtres du 30 mai d’un couple Bébi et de leurs deux jeunes enfants à Saint-Andéol-le-Château, Rhône. Il avait auparavant été déféré devant le juge Gilles Raguin, qui avait autorisé son interrogatoire pour « assassinats et destruction par incendie de mobilier et de biens immobiliers à l’aide de substances destinées à mettre en danger autrui ».

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